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Francis Mizio's Pink Flamingo

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Vous êtes sur le site du formateur, webmestre, écrivain Francis Mizio. Bienvenue sur mon site parano qui milite depuis 2007 et sans faillir pour la réintroduction du flamant rose sur le web (avec un certain succès, sans me vanter, car on y en trouve de plus en plus). On trouvera un peu de tout ici me concernant en tant que Chargé De Visions (CDV) et Responsable du Contrôle de l’Adhérence à la Fiction (RCAF) : du web, des livres, des ateliers d’écriture, des flamants roses, des trucs que j’♥ au fil de mes errements, lectures et découvertes — et souvent n’importe quoi parce que la vie est ainsi.

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Les installations urbaines de « typographies dé Les installations urbaines de « typographies dégradées » de l’artiste visent à nous interpeller sur la place que l’humanité loue sur Terre via la figure iconique de l’hôtel dans un monde ressenti comme finissant, en proie à une entropie qui ne peut plus offrir que la nostalgie d’un temps où tout fut lisible et ordonné. La déconstruction des mots est celle de notre bafouillement, aveu de notre impuissance face à des enjeux qui ne sont plus de façade. L’enseigne ici nous « enseigne », car elle avertit qu’il est déjà trop tard. #montartcontempo
Le groupe /Surface/sur/Surface/ s’est attaché d Le groupe /Surface/sur/Surface/ s’est attaché durant les quelques mois de son existence a effectuer un travail de recherche de mise en abyme de la nappe industrielle en plastique imprimé, arguant que « la neutralité objective et le motif subjectif de la surface de la nappe définissent le périmètre de la surface qu’elle recouvre » et donc qu’en ce sens « la nappe est le territoire ». Les premiers recouvrement de tables et de guéridons lors de l’exposition à l’École Spéciale d’Architecture en mai 1969 ayant marqué les esprits critiques déjà échauffés par l’apparition du groupe Supports/Surfaces à la même période, /Surface/sur/Surface/ a développé sa réflexion et son geste les mois suivants en empilant des nappes selon « un principe - phénomène répliquant » s’agissant de recouvrir une nappe d’une autre nappe, générant une nouvelle dimension du plat à l’épais. Leur pièce principale, aboutissement de nombreux essais, « 100 nappes sur une table basse » a été hélas perdue lors du démontage de l’exposition à l’A.R.C de Paris, probablement évacuée par mégarde par l’équipe de nettoyage. Le groupe /Surface/sur/surface/ s’est par la suite auto-dissout en juillet 1970 « trop interrogé par la notion de couche, car l’on peut toujours en rajouter une ». #monartcontempo
[publicité Leclerc valable du 11 mai au 11 juin 2 [publicité Leclerc valable du 11 mai au 11 juin 2022] Le collectif [PRÉSENCE PROSPECTUS] né « par manque de lecture pendant le confinement de mars 2020 » a cessé fin juin 2022 ses activités de distribution/accumulations en référence à l’artiste César, à la suite d’une rixe avec des migrants distributeurs concurrents salariés à tâche. Sous le manifeste « ce qui est prix est à prendre », les artistes réalisaient des mises en scènes de « mise en boîte à lettres concernantes » visant à « mettre en perspective », mais surtout « interroger les propos déprimistes, décroissants  et collapsophiles » de l’époque dans une dynamique d’action-art de proximité. La pièce la plus fameuse, une pile de 290 ready made « anniversaire Castorama », est exposée au Guggenheim de Bilbao témoignant avec pugnacité d’une époque versatile. d’une histoire immédiate, dans laquelle l’Être est confronté à ses choix consuméristes dans un hypothétique futur plus favorable quant aux promotions qu’offriraient des lendemains espérés toujours plus scintillants.  #monartcontempo
Ces sculptures urbaines que disperse l’artiste v Ces sculptures urbaines que disperse l’artiste visent à changer notre regard sur l’espace comme lieu d’expression d’un art possible soulignant les dégradations du temps,  mais surtout en tant que champ du narratif des déplacements. Si à l’heure de l’urgence climatique la figure bienveillante et résiliente du vélo nous crie celle de l’usage impératif des mobilités douces, le dispositif ici, ostensiblement mis à mal, nous rappelle que peuvent s’y opposer des immobilités dures et qui durent.  Espace et temps, questions antagoniques formelles : ici le totem/vélo dans cette pluralité permet de nous interroger sur notre bipédie comme seul recours. #monartcontempo
Image 19/365. Mêlant fascination et frustration l Image 19/365. Mêlant fascination et frustration l’artiste a réalisé 365 images de boutiques de coiffeurs afro-antillais pour interpeller les « lieux où il n’ira hélas jamais » puisque caucasien chauve, que les rabatteurs des boutiques n’invitent jamais. Les prises de vues souvent furtives parfois floues visent à exprimer l’ambiguïté trouble de l’espace urbain entre l’aspiration des entrées et l’expiration des sorties, comme un souffle d’injonctions contradictoires de fin des temps. #monartcontempo
Dans cette installation (piquet ; sac gonflé par Dans cette installation (piquet ; sac gonflé par le vent) l’artiste interroge la tension consumériste ressentie par le passant tétanisé par l’offre dans la rue - entre retenue personnelle et souffle tentateur de la mode/tendance/pulsion d’achat. Une lecture très personnelle de la société de consommation dont le déclin est ici annoncé dans l’esquisse du déchet. #monartcontempo
Dans cette installation l’artiste interroge la p Dans cette installation l’artiste interroge la place du travail à distance post pandémie dans un paradigme de crise récurrente et de déplacement mondialisé des travailleurs à l’heure où nous sommes tous migrants  #monartcontempo
Nouveau roman ! Voir sur http://tribu-macroqa.fr Nouveau roman ! 
Voir sur 
http://tribu-macroqa.francismizio.net/
Nouveau podcast : "Malfaisance de Madame Michu" (l Nouveau podcast : "Malfaisance de Madame Michu" (la grosse enquête). 
C'est à http://tinyurl.com/eysfk2vc
Avec interview d’un expert en escargots atypique Avec interview d’un expert en escargots atypiques !
Je lance un second podcast court irrégulomadaire Je lance un second podcast court irrégulomadaire qui parle de mots. Le premier épisode porte sur les « vertiges du bitoniau ». Voir sur francismizio.net
Publication 18122891266204108 Instagram Publication 18122891266204108 Instagram
Vient de paraître : le dossier n°2 de mon podcas Vient de paraître : le dossier n°2 de mon podcast « Le Documenteur » sur les espèces animales en voie d’apparition qui porte sur l’œdicnème criard (courlis) à bruit blanc. Juste avant : un petit mot pour faire du lien sur la vie des podcasts, de mon point de vue. 
Le mois prochain : comment le boom du télétravail a impulsé l’invasion des punaises de sièges, fauteuils, tabourets, canapés, et les problèmes gênants que cela engendre — pas seulement pour la vie économique.
À ouïr ici : lien dans la bio
S2 : Les espèces animales en voie d’apparition. S2 : Les espèces animales en voie d’apparition.
Si vous vous sentez en voie de disparition, c’es Si vous vous sentez en voie de disparition, c’est pour vous : ça rassure, on sait qu’il restera du monde, tenace, derrière. Et si cela vous amuse, faites tourner :-)
Tu vas vite apprendre à le connaître. Dans le qu Tu vas vite apprendre à le connaître. Dans le quartier tout le monde le connaît et file doux. C’est un mec qu’il faut respecter. Il s’est fait sa place, tu vois, il veut que ça se sache, il veut la garder, et je vais te donner un conseil si tu veux être tranquille, si tu ne veux pas qu’il t’arrive des ennuis, voilà : tu lui prends de sa marchandise deux fois par semaine, c’est le moyen qu’il te respecte aussi et alors il ne t’arrivera rien de fâcheux. Et le mieux si tu veux qu’il te salue : tu prends chaque fois sa complète king size 12 personnes avec le supplément anchois.
George Floyd's last words: "It's my face, man I di George Floyd's last words:
"It's my face, man
I didn't do nothing serious, man
Please, please
Please, I can't breathe
Please, man
Please, somebody
Please, man
I can't breathe
I can't breathe
Please, man can't breathe, my face
Just get up
I can't breathe, please #blackouttuesday
Nouvelle expression : laver ses masques sales en f Nouvelle expression : laver ses masques sales en famille
Au 19e jour de la pandémie et du confinement, il Au 19e jour de la pandémie et du confinement, il décida pour se bouger un peu d’enfin planter ce camélia en pot qui se morfondait depuis 2 ans. En creusant, il réalisa que lorsque lui-même et tous les autres - à ce stade on en savait encore rien — auraient disparu que cet arbre allait continuer de croître librement, sans taille, et de fleurir toujours plus chaque année dans cette campagne où même là depuis quelques temps le silence était devenu étrange. Il se dit que planter un arbre en ces jours particuliers résonnait différemment qu’à l’ordinaire. Que l’arbre allait nous-lui survivre.
Lorsque il eut terminé, il en conclut qu’il était temps de se faire pardonner — et soudain regretta de n’avoir pas planté d’arbres plus tôt. Il ressentit soudain une violente envie de réparation et creusa jusqu’à la nuit tombée 19 trous, pour les 19 jours passés et celui qui venait, pour les vingt arbres qu’il allait lui falloir planter ; il retourna la terre jusqu’à s’en casser les reins, mais cela valait mieux que de grossir devant l’écran de son télétravail. Il fallait vite rattraper le retard ; il fallait en quelque sorte expier. Il avait décidé que désormais il planterait un arbre chaque jour, tant que durerait le confinement — et même après, il continuerait d’en planter, c’était devenu crucial.
Le lendemain matin, il remplit son attestation dérogatoire de sortie, cocha la case des « achats de première nécessité » et se rendit à la jardinerie pour acquérir des arbres — des dizaines d’arbres. 
Mais elle était fermée.  #écriture #écriturecréative #littérature #atelierécriture #écrïmage #fiction #écrïmage #fiction #1pic1story
C’était une cinéphile compulsive, boulimique… Cette fièvre obsessionnelle, cette passion dévorante autour desquelles tournait toute l’organisation de sa vie quotidienne l’isolaient du monde, de sa propre vie même — mais elle en avait conscience et assumait cette situation car en contrepartie elle vivait mille vies, existait en mille existences, ressentait personnellement les sentiments de mille personnages. Comme ses héroïnes, elle tombait amoureuse, vibrait, criait, jouissait, riait, pleurait, se sacrifiait à l’Absolu, à la Beauté, pour la Justice, pour l’Idéal, pour la Liberté. Voire elle pouvait accepter avec délices une servitude qu’imposaient dans certains récits la foi ou de multiples pouvoirs, au nom d’une cause si belle ou de diverses expressions de féminités si magnifiquement tragiques. Elle se rebellait, elle gagnait, perdait, mourrait et renaissait chaque jour. Elle était la spectatrice totale. Elle s’identifiait comme nulle autre à l’actrice principale. Son plaisir de cinéma était sans égal, infini, intarissable, toujours renouvelé. Elle n’était elle-même que lorsque elle devenait l’autre à l’écran. 
Mais voilà, chaque jouissance, chaque fois bue, se terminait, chaque fois, par une douleur récurrente. 
En effet, chaque fois elle éprouvait une blessure lancinante qu’elle savait venir. Chaque fois. Elle n’y pouvait rien. Cette blessure  était le prix à payer, la contrepartie qu’elle avait appris à endurer en toute fin de chaque film, au moment du générique, chaque fois, et chaque fois, et chaque fois encore : car jamais son nom n’y était porté. Jamais elle ne le voyait apparaître à côté du patronyme de la créature qu’elle avait incarnée. Chaque fois, elle était portée à l’incandescence durant chaque film avant d’être, chaque fois, lors du générique, violemment glacée. Et c’était cette frustration douloureuse, chaque fois, qui la poussait à regarder un autre film, et un autre, et un autre, et un autre. Chaque fois, elle n’était pas au générique — et pourtant elle l’aurait tant mérité.

#écriture #écriturecréative #littérature #atelierécriture #écrïmage #fiction #écrïmage #fiction #1pic1story
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Les installations urbaines de « typographies dé Les installations urbaines de « typographies dégradées » de l’artiste visent à nous interpeller sur la place que l’humanité loue sur Terre via la figure iconique de l’hôtel dans un monde ressenti comme finissant, en proie à une entropie qui ne peut plus offrir que la nostalgie d’un temps où tout fut lisible et ordonné. La déconstruction des mots est celle de notre bafouillement, aveu de notre impuissance face à des enjeux qui ne sont plus de façade. L’enseigne ici nous « enseigne », car elle avertit qu’il est déjà trop tard. #montartcontempo
Le groupe /Surface/sur/Surface/ s’est attaché d Le groupe /Surface/sur/Surface/ s’est attaché durant les quelques mois de son existence a effectuer un travail de recherche de mise en abyme de la nappe industrielle en plastique imprimé, arguant que « la neutralité objective et le motif subjectif de la surface de la nappe définissent le périmètre de la surface qu’elle recouvre » et donc qu’en ce sens « la nappe est le territoire ». Les premiers recouvrement de tables et de guéridons lors de l’exposition à l’École Spéciale d’Architecture en mai 1969 ayant marqué les esprits critiques déjà échauffés par l’apparition du groupe Supports/Surfaces à la même période, /Surface/sur/Surface/ a développé sa réflexion et son geste les mois suivants en empilant des nappes selon « un principe - phénomène répliquant » s’agissant de recouvrir une nappe d’une autre nappe, générant une nouvelle dimension du plat à l’épais. Leur pièce principale, aboutissement de nombreux essais, « 100 nappes sur une table basse » a été hélas perdue lors du démontage de l’exposition à l’A.R.C de Paris, probablement évacuée par mégarde par l’équipe de nettoyage. Le groupe /Surface/sur/surface/ s’est par la suite auto-dissout en juillet 1970 « trop interrogé par la notion de couche, car l’on peut toujours en rajouter une ». #monartcontempo
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Si vous vous sentez en voie de disparition, c’es Si vous vous sentez en voie de disparition, c’est pour vous : ça rassure, on sait qu’il restera du monde, tenace, derrière. Et si cela vous amuse, faites tourner :-)
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George Floyd's last words: "It's my face, man I di George Floyd's last words:
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Au 19e jour de la pandémie et du confinement, il Au 19e jour de la pandémie et du confinement, il décida pour se bouger un peu d’enfin planter ce camélia en pot qui se morfondait depuis 2 ans. En creusant, il réalisa que lorsque lui-même et tous les autres - à ce stade on en savait encore rien — auraient disparu que cet arbre allait continuer de croître librement, sans taille, et de fleurir toujours plus chaque année dans cette campagne où même là depuis quelques temps le silence était devenu étrange. Il se dit que planter un arbre en ces jours particuliers résonnait différemment qu’à l’ordinaire. Que l’arbre allait nous-lui survivre.
Lorsque il eut terminé, il en conclut qu’il était temps de se faire pardonner — et soudain regretta de n’avoir pas planté d’arbres plus tôt. Il ressentit soudain une violente envie de réparation et creusa jusqu’à la nuit tombée 19 trous, pour les 19 jours passés et celui qui venait, pour les vingt arbres qu’il allait lui falloir planter ; il retourna la terre jusqu’à s’en casser les reins, mais cela valait mieux que de grossir devant l’écran de son télétravail. Il fallait vite rattraper le retard ; il fallait en quelque sorte expier. Il avait décidé que désormais il planterait un arbre chaque jour, tant que durerait le confinement — et même après, il continuerait d’en planter, c’était devenu crucial.
Le lendemain matin, il remplit son attestation dérogatoire de sortie, cocha la case des « achats de première nécessité » et se rendit à la jardinerie pour acquérir des arbres — des dizaines d’arbres. 
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C’était une cinéphile compulsive, boulimique… Cette fièvre obsessionnelle, cette passion dévorante autour desquelles tournait toute l’organisation de sa vie quotidienne l’isolaient du monde, de sa propre vie même — mais elle en avait conscience et assumait cette situation car en contrepartie elle vivait mille vies, existait en mille existences, ressentait personnellement les sentiments de mille personnages. Comme ses héroïnes, elle tombait amoureuse, vibrait, criait, jouissait, riait, pleurait, se sacrifiait à l’Absolu, à la Beauté, pour la Justice, pour l’Idéal, pour la Liberté. Voire elle pouvait accepter avec délices une servitude qu’imposaient dans certains récits la foi ou de multiples pouvoirs, au nom d’une cause si belle ou de diverses expressions de féminités si magnifiquement tragiques. Elle se rebellait, elle gagnait, perdait, mourrait et renaissait chaque jour. Elle était la spectatrice totale. Elle s’identifiait comme nulle autre à l’actrice principale. Son plaisir de cinéma était sans égal, infini, intarissable, toujours renouvelé. Elle n’était elle-même que lorsque elle devenait l’autre à l’écran. 
Mais voilà, chaque jouissance, chaque fois bue, se terminait, chaque fois, par une douleur récurrente. 
En effet, chaque fois elle éprouvait une blessure lancinante qu’elle savait venir. Chaque fois. Elle n’y pouvait rien. Cette blessure  était le prix à payer, la contrepartie qu’elle avait appris à endurer en toute fin de chaque film, au moment du générique, chaque fois, et chaque fois, et chaque fois encore : car jamais son nom n’y était porté. Jamais elle ne le voyait apparaître à côté du patronyme de la créature qu’elle avait incarnée. Chaque fois, elle était portée à l’incandescence durant chaque film avant d’être, chaque fois, lors du générique, violemment glacée. Et c’était cette frustration douloureuse, chaque fois, qui la poussait à regarder un autre film, et un autre, et un autre, et un autre. Chaque fois, elle n’était pas au générique — et pourtant elle l’aurait tant mérité.

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Je vous explique l’art (enfin pas moi) (de rien)

  • Post date
    29 juin 2022

Pourquoi ai-je publié mon dernier roman sous les « Éditions Le Niveau Baisse » ? Explications…

  • Post date
    1 juin 2022

Le numéro 3 de VIS COMICA, ma lettre de la littérature et des écrits humoristiques est paru

  • Post date
    1 juin 2022

Moi aussi j’ai écrit un article « inspirant » sur Linkedin

  • Post date
    5 mai 2022

Nouveau roman sorti ! : « Au lourd délire des lianes » (et en vente libre)

  • Post date
    27 avril 2022

Nouveau bot Twitter : « Alerte arnaque en cours ! »

  • Post date
    31 mars 2022

Secrets d’écriture des reportages-récits longs formats chez Florence Aubenas, et mon atelier de juin.

  • Post date
    29 mars 2022

Fraternité en Corse

  • Post date
    26 mars 2022

Mon nouveau roman, autoédité par souscription, est chez l’imprimeur… Il arrive

  • Post date
    16 mars 2022

[vidéo] Le chat Stepan, si drôle, est ukrainien

  • Post date
    2 mars 2022

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Tout est dit

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Tous unis nous gagnerons !

That’s all folks

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Un truc dont je me doutais, confirmé par Edouard Baer

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The Limiñanas – Pink flamingos

PROCHAINEMENT

Où trouver mon podcast « Le documenteur »?

Mon podcast documenteur, humoristique, mais très rigoureux sur le plan du portnawak, traitant pour sa première saison des métiers inconnus dans l’Ouest de la France, est désormais référencé sur l’annuaire des podcasts français.
> Écoutez voir comme ça sent bon.
Toutefois on peut le trouver de deux façon différentes, outre qu’il est sur toutes les bonnes plateformes de podcasts.
> Ici sur Podpage
> Ici sur Anchor

> Clique là-dessus, step’ :

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La Tour du Valat, institut de recherche pour la conservation des zones humides méditerranéennes aimerait que tu cliques sur le logo ci-dessus et que tu adoptes un pote pour Mizio  mon flamant rose filleul.

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