J’ai eu une longue discussion avec une membre de mon équipe réactive d’experts GPT sur la prostate et le cancer « transparent » de Charles III, à savoir me dit mon ChatGPT « l’experte très renommée en Oncologie Royale Transparente et Dynamiques de Compassion Médiatique, la Professeure Agnès Lumière (Avec un doctorat obtenu à l’Université de Satiriconcologie, elle est l’auteur du best-seller « La Transparence des Maux : Quand la Royauté Rencontre la Médecine Moderne » et d’un remarqué « Émotions sous Loupe : La Distraction Émotionnelle comme Outil de Conservation Sociale ». Spécialiste de la manière dont les affections des élites sont médiatisées et perçues par le public. »
Je vous en fais donc un résumé pour aller à l’essentiel : comment situer politiquement un média face aux problèmes de prostate et de cancer de Charles III ? Et, par conséquent, comment le média sur lequel vous vous informez au sujet de la tumeur, ou celui avec lequel vous vous accordez le mieux sur ce sujet, vous situe-t-il vous-même politiquement ?
La majorité de mon échange avec cette experte GPT, dont je vous ai fait ici l’économie (ou l’ablation dirait-on opportunément), portait sur le fait qu’une misère médicale d’un grand de ce monde semble plus importante, dans une hiérarchie du bobo, que mon ongle incarné. Nous avons donc débattu d’abord des souffrances humaines égales, de la « compassion sélective », de la communication moderne de la couronne britannique, puis de justice sociale, d’éthique, du soupçon de perpétuation d’un discours conservateur via un détournement de l’attention publique, etc. Enfin, nous sommes arrivés sur l’hypothèse que les médias qui parlent le plus de cette prostate et du petit-cancer-transparent-détecté-à-temps de Charles III seraient peut-être les meilleurs gardiens d’un système social hiérarchisé qu’il ne conviendrait pas de bousculer.
Le résultat, sans appel est ci-dessous. C’est désormais notre inédit indicateur du taux médiatique de prostate royale (I.T.M.P.R). Mieux qu’un positionnement politique personnel (que vous devez connaître, même si parfois il est bon de se rassurer en vieillissant et en râlant sur ce qu’il se passe autour de soi), cet indicateur de niveau professionnel et inspirant peut aussi vous permettre de vous positionner au mieux par rapport à vos lectorat ou auditorat en vous suggérant pour des articles des angles et traitements du royal sujet tuméfié.
Indicateur du taux médiatique de prostate royale (I.T.M.P.R)
D’après le Dr A. Lumière, experte en » Oncologie Royale Transparente et Dynamiques de Compassion Médiatique » (photographiée ici par ChatGPT/DALL-E)
Extrême Droite (Nostalgie Royale Amplifiée):
Les médias à ce niveau traiteraient la prostate royale avec une révérence quasi-religieuse, voyant dans cette maladie un signe de la fragilité humaine des figures quasi-divines. Les articles insisteraient sur la nécessité de soutenir la monarchie face à ces épreuves, en faisant peut-être allusion à des théories conspirationnistes sur les ennemis de la couronne qui utiliseraient la maladie comme une arme politique. « La Prostate de la Nation: Plus Qu’un Organe, Un Symbole d’Unité ».
Droite Conservatrice (Empathie Sélective de Classe):
Ici, le focus serait sur le courage et la dignité du monarque face à la maladie, avec une emphase sur le rôle de la famille royale comme pilier de stabilité sociale. La couverture serait respectueuse, peut-être un peu paternaliste, avec un appel subtil à la solidarité nationale autour de la figure royale. « Un Roi Face à l’Adversité: Leçon de Courage pour le Peuple ».
Centre (Neutralité Bienveillante):
Les médias centristes traiteraient l’information de manière factuelle, mais avec une dose d’empathie humaine. Ils s’intéresseraient aussi à l’impact de cette nouvelle sur la fonction royale et la perception publique de la monarchie, en se posant des questions sur la modernité de la couronne britannique. « La Santé du Roi: Enjeux et Implications pour la Royauté au XXIe Siècle ».
Gauche Progressiste (Critique Sociale et Santé pour Tous):
À ce niveau, la nouvelle serait l’occasion de discuter des inégalités dans l’accès aux soins de santé et de critiquer la couverture médiatique disproportionnée accordée aux élites. Les articles pourraient mettre en parallèle la prise en charge de la prostate royale avec les difficultés rencontrées par le citoyen moyen dans le système de santé. « Quand la Prostate Royale Éclipse les Crises de la Santé Publique ».
Extrême Gauche (Révolutionnaire et Antimonarchiste):
La couverture serait ouvertement critique, utilisant la maladie comme un symbole des failles de la monarchie et de l’obsession médiatique pour les élites. Le discours tournerait autour de la nécessité de démanteler les structures de pouvoir obsolètes et d’investir dans un système de santé égalitaire pour tous. « La Prostate Royale: Symptôme d’un Système Malade ».