« À soixante-dix-neuf ans, après trente et un romans écrits en cinquante-trois ans, Philip Roth décide d’arrêter d’écrire de la fiction. Il colle un post-it sur son ordinateur : Le combat avec l’écriture est terminé (The struggle with writing is over), disant au New York Times : Je regarde ce mot chaque matin et cela me donne de la force. Pour ne pas oublier. Car si écrire est une décision chaque fois renouvelée, ne pas écrire l’est aussi. »