Les aventures de Léa, l’activiste aux 57 néologismes

Le logiciel de correction Antidote vient de publier une liste de 57 néologismes (dont des québécois, belges et autres origines européennes — lire > ici la liste et les définitions) apparus cette année ; néologismes qu’il entre dans sa base de données. J’ai demandé à ChatGPT de tous les utiliser pour me créer un récit. Cela donne « Léa, l’activiste aux 57 néologismes »… et l’orientation qui découle du récit, dit beaucoup de ce qui se passe, de ce dont on se préoccupe… (Images : Midjourney V6.0)

Les aventures de Léa, l’activiste aux 57 néologismes

Au cœur d’un monde futuriste, où la maritimisation avait redéfini les frontières et la superinformatique révolutionné les sociétés, se trouvait une académie militaire spécialisée en aérocombat. L’élite de cette académie était formée à l’art de la guerre aérienne, maîtrisant des techniques telles que le panzerkeil et utilisant des équipements de pointe en vétronique.

Dans cette académie, la survivabilité était une qualité cruciale, autant pour les machines que pour les humains. Les étudiants apprenaient à utiliser des pulaskis pour les situations d’urgence, et les exercices de biodéfense étaient courants, préparant les futurs soldats aux menaces biologiques et chimiques.

Parmi eux se trouvait Léa, une jeune recrue passionnée de cyberart et de biologie. Elle excellait dans l’étude de l’organographie et était fascinée par le mirusvirus, un agent pathogène mystérieux trouvé dans les planctons marins. Léa se distinguait également par sa capacité à élaborer des stratégies de biosureté et avait une compréhension aiguë de l’importance du mycobiote dans la santé humaine.

La gastronomie au sein de l’académie était un mélange de cultures, où l’on pouvait déguster des plats exotiques comme le dosa, le donair, ou la farinata. Léa adorait partager des bougnettes avec ses camarades lors de soirées conviviales.

Pendant son temps libre, Léa se passionnait pour les problématiques environnementales. Elle soutenait les aéroabstinents et pratiquait le ralentourisme, cherchant à minimiser son empreinte carbone. Elle critiquait souvent le recyclage à l’aveuglette, préférant des approches plus réfléchies et efficaces.

L’académie était également un lieu où le cyberimposteur pouvait sévir, exploitant les réseaux sociaux pour manipuler les étudiants. Léa, consciente de ces risques, s’efforçait de renforcer les protocoles de biosureté numérique, stockant les données sensibles dans un coffre-fort numérique et sensibilisant ses camarades aux dangers du moissonnage de données.

Un jour, une crise survint : un feu zombie se déclara dans une forêt voisine, menaçant de se propager à l’académie. Les autorités décidèrent d’effectuer un brulage dirigé pour contrôler la situation. Léa et ses camarades, armés de leurs pulaskis, contribuèrent à la lutte contre l’incendie, une expérience qui renforça leur sens de la survivabilité et de la résilience.

Après cet événement, Léa décida de s’engager davantage dans les questions environnementales, pratiquant l’hortithérapie pour se reconnecter à la nature et promouvant la positivité corporelle au sein de sa communauté. Elle devint une fervente défenseure de la cyclologistique et s’engagea dans la création de vélorues pour promouvoir un mode de vie plus durable.

Le soir, épuisée mais satisfaite, Léa aimait se détendre en télévorant sa série favorite, tout en réfléchissant à la manière dont ses actions pouvaient contribuer à un avenir meilleur.

Après l’incident du feu zombie, Léa devint plus investie dans la défense environnementale. Elle apprit l’existence d’une organisation secrète nommée « Les Gardiens de la Terre », spécialisée dans l’usage de technologies avancées pour la protection de l’environnement. Cette organisation, adepte du ralentourisme, employait des méthodes comme le brulage dirigé pour maintenir l’équilibre écologique.

Léa, intriguée, décida d’approfondir ses connaissances en superinformatique pour mieux comprendre la gestion des écosystèmes. Elle découvrit que les Gardiens utilisaient un alunisseur équipé de la dernière vétronique pour surveiller et gérer les ressources naturelles depuis l’espace. Fascinée, elle se pencha sur le concept de cotransporteur biologique, espérant trouver des applications pour la décontamination des sols.

Au fil du temps, Léa se lia d’amitié avec un instavidéaste nommé Max, connu pour ses reportages audacieux sur le supportérisme écologique. Ensemble, ils mirent en lumière les défis du recyclage à l’aveuglette et promurent des pratiques plus efficaces. Max lui fit découvrir le placottoir, un espace de rencontre où les citoyens pouvaient discuter et planifier des actions écologiques.

Léa, toujours gourmande, découvrit la farinata et le kitchuri dans les restaurants locaux, des plats qui complétaient parfaitement les bougnettes et le pupusa qu’elle adorait. Elle devint une habituée des placottoirs, partageant ces mets avec d’autres activistes.

Un jour, Léa fut confrontée à un défi majeur : un robot pourrielleur avait infiltré le réseau des Gardiens, mettant en danger leurs opérations secrètes. Grâce à ses compétences en explicabilité de l’IA, elle réussit à neutraliser la menace, renforçant ainsi la sécurité de l’organisation.

Lors d’une mission, elle utilisa un jeton non fongible pour sécuriser une preuve numérique essentielle à la préservation d’une espèce menacée. Cette action démontra l’importance de la nuagisabilité des données dans les opérations environnementales.

Léa, consciente des dangers de la spectatricherie dans le milieu des activistes, s’assura que ses actions restaient authentiques et transparentes. Elle devint une voix influente parmi les aéroabstinents, prônant un changement radical dans les habitudes de voyage.

Finalement, Léa décida d’écrire un livre sur ses expériences, abordant des sujets tels que la biodéfense, le biais de confirmation dans les débats environnementaux, et la positivité corporelle dans le militantisme. Elle espérait que son récit inspirerait d’autres à adopter le ralentourisme et à lutter contre les pratiques nuisibles comme le recyclage à l’aveuglette.

Après la publication de son livre, Léa se lança dans une nouvelle aventure. Elle rencontra un groupe de militants écologistes qui pratiquaient le vélotaffer pour réduire leur impact environnemental. Intriguée, elle décida de les rejoindre, troquant son habituel mode de transport pour un vélo. Cette expérience lui permit de découvrir les vélorues de la ville, où les cyclistes et les trottinettistes coexistaient harmonieusement.

Lors d’une réunion importante sur les stratégies environnementales, Léa fit la connaissance de Martin, un frituriste belge engagé dans la lutte contre le changement climatique. Martin était connu pour ses délicieuses frites, qu’il vendait dans un petit établissement écologique. Léa et Martin échangèrent des idées sur la manière de promouvoir des pratiques durables dans l’industrie alimentaire.

Peu de temps après, Léa assista à une conférence internationale sur l’environnement. Lors des débats, elle fut impressionnée par les interventions de certains préopinants suisses, qui partageaient des perspectives novatrices sur le recyclage et la conservation de la biodiversité. Leurs idées stimulantes l’inspirèrent à explorer de nouvelles voies pour ses propres projets.

Dans le cadre de ses efforts pour sensibiliser le public aux enjeux environnementaux, Léa décida d’organiser une série de webinaires. Elle invita des experts de divers domaines, y compris des instavidéastes et des activistes du supportérisme écologique. Ces sessions en ligne devinrent rapidement populaires, attirant un large public intéressé par des sujets comme le biais de confirmation dans le discours environnemental et la positivité corporelle dans le militantisme.

Léa se rendit compte que pour atteindre un public plus large, elle devait adopter une approche plus inclusive. Elle commença à organiser des événements dans les placottoirs locaux, créant des espaces où les gens pouvaient se réunir, partager des repas et discuter de sujets importants. Ces événements offraient une atmosphère détendue et conviviale, propice à l’échange d’idées et à la création de communautés engagées.

Au fil du temps, Léa devint une figure emblématique de la lutte environnementale, reconnue pour son engagement profond et ses contributions significatives. Sa passion et sa détermination inspirèrent de nombreuses personnes à adopter des modes de vie plus durables, à réfléchir de manière critique et à agir pour un avenir meilleur.

Dans le cadre de ses efforts pour protéger l’environnement, Léa apprit que le gouvernement planifiait le lancement d’une bombe orbitale comme moyen dissuasif contre les pollueurs industriels. Cette nouvelle suscita de vifs débats, certains craignant les conséquences imprévisibles d’une telle mesure. Léa, soucieuse des implications éthiques, s’impliqua activement dans ces discussions.

Parallèlement, l’académie militaire où Léa avait été formée débuta la construction d’une série de fortifications appelées dent de dragon, destinées à protéger les côtes contre les incursions ennemies. Bien que Léa fût concentrée sur l’écologie, elle ne pouvait ignorer les implications de ces développements sur la sécurité globale.

Dans ses recherches biologiques, Léa découvrit le concept d’allotypie, qui expliquait les différences immunologiques entre les espèces. Cette découverte l’aida à comprendre la diversité biologique et à élaborer des stratégies de conservation plus efficaces.

Un jour, alors qu’elle participait à une opération de reforestation, une flambée en chandelle se produisit, embrasant soudainement un arbre proche. Heureusement, grâce à sa formation, Léa put maîtriser rapidement l’incendie avec l’aide de son pulaski.

À l’académie, Léa avait appris l’importance d’une favicône pour identifier de manière unique les sites web de communication et de coordination des opérations environnementales. Elle suggéra d’utiliser cette technique pour améliorer la visibilité des initiatives écologiques en ligne.

Léa s’intéressa également au moissonnage de données pour surveiller les tendances environnementales et les comportements des pollueurs. Elle utilisa ces informations pour renforcer les stratégies de conservation et d’éducation publique.

Un jour, elle rencontra un groupe de développeurs travaillant sur le rétroportage de vieux jeux vidéo, sensibilisant ainsi les joueurs aux enjeux environnementaux par le biais du divertissement numérique.

Dans sa communauté, Léa était connue pour son attitude inébranlable et son engagement sans faille. Elle donnait toujours son 110 %, que ce soit dans ses projets écologiques ou dans son travail de sensibilisation.

Lors d’une conférence, elle insista sur l’importance d’un traumavertissement avant de présenter des images choquantes de zones dévastées par la pollution. Elle tenait à respecter la sensibilité de son auditoire tout en transmettant un message fort.

Enfin, lors d’un match de football caritatif pour la protection de l’environnement, Léa fut invitée à monter au jeu en tant que joueuse remplaçante. Bien qu’elle ne fût pas une athlète professionnelle, elle accepta avec enthousiasme, voyant là une opportunité de promouvoir la cause écologique dans un contexte différent.